Alice ne parle plus à personne, car elle ne supporte pas de voir son visage défiguré. Sa rencontre à l’hôpital avec Kamikaze, un chai peu ordinaire qui a trois pattes et une queue tronquée, va lui faire le plus grand bien. Aïe, aïe, aïe! pense ce dernier. Cette petite fille s’en fait vraiment trop avec cette cicatrice! Je sais bien, moi, que l’on peut être heureux avec quelques pièces d’origine en moins! C’est dit, je lui fais un gros câlin. Personne ne résiste à un «câlinfélin»… Un récit empreint de tendresse, de musique et d’espoir.