François, le père de Zunik, a encore une fois accepté de s’occuper d’Ariane, la fille de son amie Hélène. Il propose une visite à la bibliothèque. En chemin, Ariane ne rate pas une occasion de faire étalage de sa supériorité, traitant à plusieurs reprises Zunik de bébé qui ne sait pas encore lire. Alors que le conteur demande pourquoi le dragon de son histoire pleure tout le temps, Zunik suggère que c’est parce qu’il n’a pas de wawazonzon. Ariane rit de Zunik et affirme que les wawazonzons n’existent pas. Elle demande alors à François de confirmer ses dires. Celui-ci joue plutôt le jeu de la complicité avec son fils : rares sont ceux qui ont eu la chance de voir un wawazonzon…